SCREEN MOVIES
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Re: SCREEN MOVIES
Euh ... ^^
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Si, exact
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Oui !
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Re: SCREEN MOVIES
Fast & Furious 5
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Re: SCREEN MOVIES
Oui
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Re: SCREEN MOVIES
pas évident j'étais partis sur Inglourious Basterds
mais c'est Enemy at the gates ou en VF Stalingrad
Un grand-père apprend à son petit-fils Vassili à tirer sur les loups. Automne 1942 : l'armée allemande assiège Stalingrad, dernier verrou de la défense de l'URSS. Les Russes ont un fusil pour deux et ils se lancent à l'assaut de l'ennemi solidement retranché et bien équipé. Les officiers mitraillent ceux qui reculent. Vassili démontre ses vertus de tireur en abattant cinq Allemands avec cinq balles. Khrouchtchev cherche des idées de propagande. Danilov, un commissaire politique, propose de donner des héros en exemples. Il en suggère un : Vassili, qui va faire, à son corps défendant, la première page du journal. L'état-major allemand envoie contre lui le Major Koenig, le meilleur "sniper". Vassili et ses camarades lui tendent en vain un piège. Au cours d'un combat, Vassili, désarmé par une balle de Koenig, ne doit le salut qu'à l'intervention d'une jeune fille, Tania, qu'il avait déjà remarquée. Juive, elle se bat pour venger l'assassinat de ses parents. Danilov a un but : créer un duel entre Vassili et Koenig ; il utilise à cette fin un jeune garçon, Sacha, comme agent double, que Koenig va démasquer et faire pendre. Au cours d'un engagement, Danilov, amoureux malheureux de Tania, qui lui préfère Vassili, se fait volontairement tuer : son sacrifice permet à Vassili d'abattre Koenig. Après la victoire, Vassili retrouvera Tania.
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Un grand-père apprend à son petit-fils Vassili à tirer sur les loups. Automne 1942 : l'armée allemande assiège Stalingrad, dernier verrou de la défense de l'URSS. Les Russes ont un fusil pour deux et ils se lancent à l'assaut de l'ennemi solidement retranché et bien équipé. Les officiers mitraillent ceux qui reculent. Vassili démontre ses vertus de tireur en abattant cinq Allemands avec cinq balles. Khrouchtchev cherche des idées de propagande. Danilov, un commissaire politique, propose de donner des héros en exemples. Il en suggère un : Vassili, qui va faire, à son corps défendant, la première page du journal. L'état-major allemand envoie contre lui le Major Koenig, le meilleur "sniper". Vassili et ses camarades lui tendent en vain un piège. Au cours d'un combat, Vassili, désarmé par une balle de Koenig, ne doit le salut qu'à l'intervention d'une jeune fille, Tania, qu'il avait déjà remarquée. Juive, elle se bat pour venger l'assassinat de ses parents. Danilov a un but : créer un duel entre Vassili et Koenig ; il utilise à cette fin un jeune garçon, Sacha, comme agent double, que Koenig va démasquer et faire pendre. Au cours d'un engagement, Danilov, amoureux malheureux de Tania, qui lui préfère Vassili, se fait volontairement tuer : son sacrifice permet à Vassili d'abattre Koenig. Après la victoire, Vassili retrouvera Tania.
mais c'est Enemy at the gates ou en VF Stalingrad
Un grand-père apprend à son petit-fils Vassili à tirer sur les loups. Automne 1942 : l'armée allemande assiège Stalingrad, dernier verrou de la défense de l'URSS. Les Russes ont un fusil pour deux et ils se lancent à l'assaut de l'ennemi solidement retranché et bien équipé. Les officiers mitraillent ceux qui reculent. Vassili démontre ses vertus de tireur en abattant cinq Allemands avec cinq balles. Khrouchtchev cherche des idées de propagande. Danilov, un commissaire politique, propose de donner des héros en exemples. Il en suggère un : Vassili, qui va faire, à son corps défendant, la première page du journal. L'état-major allemand envoie contre lui le Major Koenig, le meilleur "sniper". Vassili et ses camarades lui tendent en vain un piège. Au cours d'un combat, Vassili, désarmé par une balle de Koenig, ne doit le salut qu'à l'intervention d'une jeune fille, Tania, qu'il avait déjà remarquée. Juive, elle se bat pour venger l'assassinat de ses parents. Danilov a un but : créer un duel entre Vassili et Koenig ; il utilise à cette fin un jeune garçon, Sacha, comme agent double, que Koenig va démasquer et faire pendre. Au cours d'un engagement, Danilov, amoureux malheureux de Tania, qui lui préfère Vassili, se fait volontairement tuer : son sacrifice permet à Vassili d'abattre Koenig. Après la victoire, Vassili retrouvera Tania.
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Un grand-père apprend à son petit-fils Vassili à tirer sur les loups. Automne 1942 : l'armée allemande assiège Stalingrad, dernier verrou de la défense de l'URSS. Les Russes ont un fusil pour deux et ils se lancent à l'assaut de l'ennemi solidement retranché et bien équipé. Les officiers mitraillent ceux qui reculent. Vassili démontre ses vertus de tireur en abattant cinq Allemands avec cinq balles. Khrouchtchev cherche des idées de propagande. Danilov, un commissaire politique, propose de donner des héros en exemples. Il en suggère un : Vassili, qui va faire, à son corps défendant, la première page du journal. L'état-major allemand envoie contre lui le Major Koenig, le meilleur "sniper". Vassili et ses camarades lui tendent en vain un piège. Au cours d'un combat, Vassili, désarmé par une balle de Koenig, ne doit le salut qu'à l'intervention d'une jeune fille, Tania, qu'il avait déjà remarquée. Juive, elle se bat pour venger l'assassinat de ses parents. Danilov a un but : créer un duel entre Vassili et Koenig ; il utilise à cette fin un jeune garçon, Sacha, comme agent double, que Koenig va démasquer et faire pendre. Au cours d'un engagement, Danilov, amoureux malheureux de Tania, qui lui préfère Vassili, se fait volontairement tuer : son sacrifice permet à Vassili d'abattre Koenig. Après la victoire, Vassili retrouvera Tania.
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Harry Potter et les reliques de la mort (P2): La critique Posté par jeromecold le 13/juil/2011 | Laisser son avis Harry Potter et les reliques de la mort, la seconde partie j’entends, est le film qui conclut la saga Harry Potter, débutée il y a tout de même 10 ans. C’est dans l’histoire du cinéma, la série qui compte à la fois le plus de films et le plus d’année d’ancienneté. La première, française j’entends, à Bercy hier a rassemblé près de 6 600 spectateurs, la livre des records a d’ailleurs indiqué que cela n’était jamais arrivé! Si globalement la presse s’entend à dire que le film est bien, le public lui semble carrément conquis. Et il y a de quoi! Tenu en haleine depuis le quatrième film, La coupe de Feu, quant à ce qui adviendra dans le futur entre Voldemort et Harry, il fallait une fin en apothéose. D’ailleurs concernant cette dernière, les avis diverges: il y a ceux qui ont lu le livre et ceux qui comme moi ne l’ont pas lu. les premiers sont mitigés dans leur opinion du film, les autres enchantés. Le découpage en deux films du dernier livre m’avait d’abord laissé sceptique, puis j’avais vu Les reliques de la mort, partie 1, qui m’avait conforté dans cette opinion, mais ce dernier film de la saga justifie le découpage, on prend ainsi le temps de s’intéresser à certains détails (sans trop détailler quand même parait-il) qui expliquent certaines pistes laissées dans les autres films: quand Rogue tue Dumbledore par exemple dans Le prince de sang mêlé, Quand Rogue (encore lui) décide d’aider Harry à empêcher Voldemort de rentrer dans son esprit, quand la mère d’Harry décide de faire pour lui le sacrifice ultime, pourquoi Harry est « connecté » à Voldemort… Cet épisode de fin résout absolument tous ces mystères. Concernant le style de film, il y a pour moi une rupture avec les autres films, si on ne considère que les 3 derniers, dans la façon de mener l’action. Puisqu’en effet, pour ce film, on peut réellement parler d’action. Il y a de tout: des explosions, des morts, des dragons qui volent, des wagonnets qui déraillent, des bagarres (heureusement!). Le lancinant suspens qui était peu à peu devenu maitre dans les autres films disparait, et pourquoi donc le regretter? On ne s’ennuie pas pendant le film, il n’y a presque qu’à se laisser guider, les rebondissements sont nombreux. Cependant, un point regrettable doit être souligné: on ne voit pas assez l’action du point de vue des personnages. Je m’explique avec un exemple très clair: Il semble dans le film que Dumbledore soit un personnage encore plus mystérieux qu’il ne le laissait paraitre dans les autres opus. Problème? Bein on en sait guère plus. Ce manque de subjectivité des personnages va jusqu’à se ressentir dans les dialogues, puisque beaucoup d’entre eux (enfin, sur le peu qu’il y a) sont assez vides. On ne ressent par exemple pas la rage de Voldemort quand ses horcruxes sont détruits (oui, il commet quelques meurtres, certes, mais c’est tout). Concernant le public ciblé, c’est très net: si vous n’avez pas vu les autres films, et principalement la première partit des reliques de la mort, vous aurez beaucoup de mal à suivre! Ensuite, les quelques morts et le sang qui jaillit font que le film ne s’adresse pas non plus à de trop jeunes enfants. Cependant, vous l’aurez comprit, moi j’ai tout simplement adoré, donc je le recommande les yeux fermés, si vous aimez Harry Potter et les grandes épopées, allez-y! Et maintenant? Les films, c’est fini, les livres aussi. Que reste-t-il donc? Un parc d’attraction va ouvrir ses portes aux Etats-Unis, à Orlando pour être précis. Poudlard y sera reconstitué, tout comme Pré-au-Lard (le village). Des manèges à sensation seront présents (on parle d’un truc avec des bras qui vous balance dans tous les sens). J.K Rowling participe étroitement au projet et a déjà approuvé les plans, l’univers Potterien sera donc bien restitué pour les grands fans. Harry Potter et les reliques de la mort, partie II. Réalisé par David Yates, financé par Warner Bros. Sortit officielle en France le 13 juillet 2011.
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Harry Potter et les reliques de la mort (P2): La critique Posté par jeromecold le 13/juil/2011 | Laisser son avis Harry Potter et les reliques de la mort, la seconde partie j’entends, est le film qui conclut la saga Harry Potter, débutée il y a tout de même 10 ans. C’est dans l’histoire du cinéma, la série qui compte à la fois le plus de films et le plus d’année d’ancienneté. La première, française j’entends, à Bercy hier a rassemblé près de 6 600 spectateurs, la livre des records a d’ailleurs indiqué que cela n’était jamais arrivé! Si globalement la presse s’entend à dire que le film est bien, le public lui semble carrément conquis. Et il y a de quoi! Tenu en haleine depuis le quatrième film, La coupe de Feu, quant à ce qui adviendra dans le futur entre Voldemort et Harry, il fallait une fin en apothéose. D’ailleurs concernant cette dernière, les avis diverges: il y a ceux qui ont lu le livre et ceux qui comme moi ne l’ont pas lu. les premiers sont mitigés dans leur opinion du film, les autres enchantés. Le découpage en deux films du dernier livre m’avait d’abord laissé sceptique, puis j’avais vu Les reliques de la mort, partie 1, qui m’avait conforté dans cette opinion, mais ce dernier film de la saga justifie le découpage, on prend ainsi le temps de s’intéresser à certains détails (sans trop détailler quand même parait-il) qui expliquent certaines pistes laissées dans les autres films: quand Rogue tue Dumbledore par exemple dans Le prince de sang mêlé, Quand Rogue (encore lui) décide d’aider Harry à empêcher Voldemort de rentrer dans son esprit, quand la mère d’Harry décide de faire pour lui le sacrifice ultime, pourquoi Harry est « connecté » à Voldemort… Cet épisode de fin résout absolument tous ces mystères. Concernant le style de film, il y a pour moi une rupture avec les autres films, si on ne considère que les 3 derniers, dans la façon de mener l’action. Puisqu’en effet, pour ce film, on peut réellement parler d’action. Il y a de tout: des explosions, des morts, des dragons qui volent, des wagonnets qui déraillent, des bagarres (heureusement!). Le lancinant suspens qui était peu à peu devenu maitre dans les autres films disparait, et pourquoi donc le regretter? On ne s’ennuie pas pendant le film, il n’y a presque qu’à se laisser guider, les rebondissements sont nombreux. Cependant, un point regrettable doit être souligné: on ne voit pas assez l’action du point de vue des personnages. Je m’explique avec un exemple très clair: Il semble dans le film que Dumbledore soit un personnage encore plus mystérieux qu’il ne le laissait paraitre dans les autres opus. Problème? Bein on en sait guère plus. Ce manque de subjectivité des personnages va jusqu’à se ressentir dans les dialogues, puisque beaucoup d’entre eux (enfin, sur le peu qu’il y a) sont assez vides. On ne ressent par exemple pas la rage de Voldemort quand ses horcruxes sont détruits (oui, il commet quelques meurtres, certes, mais c’est tout). Concernant le public ciblé, c’est très net: si vous n’avez pas vu les autres films, et principalement la première partit des reliques de la mort, vous aurez beaucoup de mal à suivre! Ensuite, les quelques morts et le sang qui jaillit font que le film ne s’adresse pas non plus à de trop jeunes enfants. Cependant, vous l’aurez comprit, moi j’ai tout simplement adoré, donc je le recommande les yeux fermés, si vous aimez Harry Potter et les grandes épopées, allez-y! Et maintenant? Les films, c’est fini, les livres aussi. Que reste-t-il donc? Un parc d’attraction va ouvrir ses portes aux Etats-Unis, à Orlando pour être précis. Poudlard y sera reconstitué, tout comme Pré-au-Lard (le village). Des manèges à sensation seront présents (on parle d’un truc avec des bras qui vous balance dans tous les sens). J.K Rowling participe étroitement au projet et a déjà approuvé les plans, l’univers Potterien sera donc bien restitué pour les grands fans. Harry Potter et les reliques de la mort, partie II. Réalisé par David Yates, financé par Warner Bros. Sortit officielle en France le 13 juillet 2011.
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Je dirais Harry Potter et la Coupe de Feu ?
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Là, je sèche !
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Re: SCREEN MOVIES
L'Ennemi intime
Algérie, 1959. Les opérations militaires s’intensifient. Dans les hautes montagnes Kabyles, Terrien (Benoît Magimel), un lieutenant idéaliste, prend le commandement d'une section de l'armée française. Il y rencontre le sergent Dougnac (Albert Dupontel), un militaire désabusé. Leurs différences et la dure réalité du terrain vont vite mettre à l'épreuve les deux hommes. Perdus dans une guerre qui ne dit pas son nom, ils vont découvrir qu'ils n'ont comme pire ennemi qu'eux-mêmes.
Algérie, 1959. Les opérations militaires s’intensifient. Dans les hautes montagnes Kabyles, Terrien (Benoît Magimel), un lieutenant idéaliste, prend le commandement d'une section de l'armée française. Il y rencontre le sergent Dougnac (Albert Dupontel), un militaire désabusé. Leurs différences et la dure réalité du terrain vont vite mettre à l'épreuve les deux hommes. Perdus dans une guerre qui ne dit pas son nom, ils vont découvrir qu'ils n'ont comme pire ennemi qu'eux-mêmes.
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